Barcelone City Trip

Que tàl ?

Gare routière de Barcelone Nord.  Fond sonore : The world is black -Good Charlotte ( souvenirs de 2008). 

Plus de carte, plus de plan. On avance aux souvenirs et à l’envie. 

Prendre possession du Airbnb, puis se lancer à la découverte de la vieille ville de Barcelone. Il y avait un peu de sérieux et de cérémonie dans cette matinée. Tout de même, un premier xocolata amb churros, ca se déguste avec un peu de cérémonie. 


Puis l’on se promène dans les petites rues sombres et les bâtiments gothiques. De la cathédrale gothique flamboyante mais à la décoration intérieure d’un rococo parfois…. douteux 


( les anges en ont un peu trop pris…) 

…. aux patios magnifiques et aux cloîtrés en passant par  la crèche à taille des ambitions d’un petit Jordi de 8 ans


Puis on se perd près des restes de la guerre civile, dans les impacts de balle des murs puis dans le cœur des revendications nationalistes. On regarde les boutiques, les ouvertes et florissantes mais également les pas de portes délaissés dans lesquels il y avait encore de la vie il y a huit ans.

Direction la boqueria San Josep. La foule est dense, presque à en étouffer. Et pourtant les étals donneraient des envies d’huîtres aux plus réfractaires de la consommation de fruits de mer. Mais ce sont les étalages de fruits, aux milles couleurs et aux prix défiants toute concurrence qui ravissent nos pupilles. Nous reviendrons demain faire le plein. 


Car pour le moment, c’est vers le palais de la musique qu’il faut aller. Encore une claque moderniste. Si les roses en céramique semblent bien lourdes, les colonnes de mosaïque mais surtout la verrière nous laissent ébahis. Promis nous mettrons nos photos reflex  de ces merveilles. C’est une promenade dans un jardin de céramique et de pierre, étendard des velléités nationalistes catalanes. 

Parenthèse Plaza Real : oh La Havane !


Après l’émerveillement, c’est l’estomac dans les talons que nous allons nous restaurer avec force tapas Passeig de Gracia. Puis nos pas nous amènent près des constructions de Gaudi ( meme si c’est plutôt demain que nous nous consacrerons à ses œuvres). On flâne dans la grande rue puis sur la plaza Catalunya dédiée aux enfants pour les festivités de  Nadal. 

  

Avant de décider de prendre un bus vers les plages pour enfin voir…. la mer. 

Enfin la voir, l’entendre surtout car la nuit noire est tombée sur la ville et le cœur de Barcelone se réveille. Les nuits sont toujours aussi noires de monde mais la plage est quasi déserte. Récolte de cailloux, chaussures humides, grains de sables dans les chaussettes et roulis des mini vaguelettes ….

Fourbus enfin, on se jette dans un bus pour rentrer au Raval. La nuit dernière fut courte et d’après up nous avons fait pas moins de 25 600 pas……

Demain est un jour Gaudi !

Nous avons tous de même quelques pensées de voyage à partager :

il y a deux ans, nous nous demandions ce que devenaient les vendeurs de glace de Firenze l’hiver venu. Si c’est comme ici, en hiver aussi ils vendent des glaces

– les oranges dans les arbres c’est joli. Dommage que l’on aime pas ça. 

– Joris : catalan lu, mais ni écrit ni parlé. 

– l’odeur d’herbe moyennement légale envahi les carrer régulièrement. 

 

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